Succession : les frais bancaires désormais plafonnés
Le gouvernement met fin aux abus tarifaires sur les successions bancaires. Un décret paru en août 2025 instaure un plafond national de 850 € pour les frais prélevés par les banques sur les comptes des défunts. Cette mesure marque un tournant dans la protection des héritiers face à des pratiques opaques et inégales.
Propriété commune à la campagne : Étapes pour une acquisition pérenne
Envie de verdure, de mètres carrés et de partager les frais : de plus en plus d’amis, de fratries ou de couples d’amis se regroupent pour acquérir une maison à la campagne. L’idée séduit par son bon sens économique… à condition de choisir le bon cadre juridique et d’anticiper la vie à plusieurs. Indivision, SCI, tontine : atouts, limites et précautions à prendre.
L'assurance-vie luxembourgeoise : mythe ou réalité ?
Entre incertitudes économiques et rappel de la loi Sapin II, de plus en plus d’épargnants s’interrogent : un contrat d’assurance-vie luxembourgeois protège-t-il mieux mon patrimoine qu’un contrat français ? La réponse tient en quelques atouts solides… et plusieurs conditions à bien mesurer.
La garantie des dépôts : les Français mal préparés à la faillite bancaire
Seuls 25 % des Français connaissent le plafond d’indemnisation de leurs dépôts bancaires, et moins d’un sur dix sait sous combien de jours il est versé. C’est ce que révèle le dernier baromètre du Fonds de garantie des dépôts et de résolution (FGDR). Une méconnaissance préoccupante à l’heure où la stabilité bancaire n’est plus un acquis absolu.
L'énigme de l'immobilier français : surabondance de logements, manque d'habitants.
Selon une vaste étude de l’Insee, un quart des résidences principales françaises disposent de trois pièces de plus que nécessaire. Un phénomène structurel lié à l’âge, à la propriété, et à la sédentarité résidentielle, qui remet en question les politiques de logement dans un marché toujours tendu.
Impôts : la bienveillance fiscale en déclin ?
Une décision du Conseil d'État du 9 mai remet-elle en question le fameux droit à l'erreur, symbole d'une administration plus clémente et ouverte au dialogue ? Retour sur un coup de théâtre juridique qui risque de changer la donne pour les contribuables.

